Avec 18 titres de champion, les Celtics détiennent le record du plus grand nombre de trophées en NBA, devant les Los Angeles Lakers. Ce palmarès exceptionnel, associé à une base de fans fidèle et passionnée, donne une valeur unique à la franchise.
Depuis les années 1950, la franchise a vu passer des légendes du basketball : Bob Cousy, Bill Russell, Larry Bird, Paul Pierce, Kevin Garnett et aujourd’hui Jaylen Brown et Jayson Tatum.

Un investissement sûr dans un système fermé
Contrairement au football européen où les clubs peuvent être relégués, la NBA fonctionne dans un système fermé : aucune équipe ne peut être évincée, ce qui garantit une certaine stabilité financière. De plus, les Celtics sont le seul club NBA de la région, limitant ainsi la concurrence directe.
Un futur coûteux, mais prometteur
L’un des défis pour le nouvel acquéreur sera la « luxury tax » de la NBA. En effet, Boston dispose d’un effectif coûteux, avec Tatum et Brown parmi les joueurs les mieux payés de la ligue. Le dépassement du plafond salarial entraîne des amendes significatives, qui vont encore augmenter dans les années à venir.
Malgré cela, posséder une équipe comme les Celtics reste une opportunité unique. Qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, les Celtics continueront à générer un intérêt constant, tout comme les Lakers ou les Knicks.

Une vente qui pourrait accélérer l’expansion de la NBA
Cette transaction record pourrait avoir des conséquences bien au-delà de Boston. La NBA envisage depuis plusieurs années d’élargir la ligue à 32 équipes, avec des villes comme Las Vegas et Seattle en tête de liste.
Avec cette vente à 6 milliards de dollars, la ligue dispose maintenant d’un nouveau standard de valorisation. Si les équipes futures doivent payer un montant similaire pour intégrer la NBA, les propriétaires actuels pourraient se répartir une somme colossale.
Ainsi, au-delà d’une simple vente, cette transaction pourrait bien redéfinir l’avenir de la NBA et marquer le début d’une nouvelle ère.